pour une fois l'animal reste en vie ..!

moi au milieu houlala
https://www.youtube.com/watch?v=fJ6JaekUBL4

ça j'aime.... à contrario de la corrida

C'est génial!

Félicitations à ces hommes

ils sont souples hihihi houlala

oui c'ets plutôt joli, les taureaux sont pleine peau, l'oeil vif, ils ne semblent pas diminués, il y a des figuresacrobatiques, des sensations, mais rien de dégradant pour qui que ce soit, j'aime bien aussi.
Ca fait un peu penser aux courses camarguaises.

J'aime bien aussi.
De sacrés gars quand même.

ça au moins c'est du sport !!!

Ils sont complètement tarés les mecs! Mais c'est un sacré spectacle et les taureaux sont beaux, rien à redire la dessus.

A Barcelone, plus aucune corrida n'aura lieu dans les arènes de la Monumental en 2012. Les députés du parlement régional de Catalogne, au nord-est de l'Espagne, ont approuvé ce mercredi 28/07/2010 l'interdiction des mises à mort de taureaux, à partir du 1er janvier 2012, par 68 voix pour et 55 contre. Certains élus sont-ils devenus allergiques à cette tradition nationale ? Les conservateurs espagnols, en tout cas, n'ont guère goûté le choix des Catalans. D'autant que ce sont les parlementaires du parti indépendantiste catalan ERC et les représentants du parti nationaliste modéré CIU qui se sont prononcés contre l'abolition des corridas. Or, le Tribunal constitutionnel avait rejeté fin juin une partie des prérogatives accordées à la Catalogne dans son nouveau statut d'autonomie. Il ne faut pas non plus oublier que cette région est la plus riche d'Espagne. Jean Lacouture : «Un geste politique» Jean Lacouture, cet historien et journaliste bordelais passionné de tauromachie, y voit «un geste politique» contre Madrid, mais aussi une façon de se démarquer de certain provinces espagnoles. «Des problèmes vont se poser avec le considérable prolétariat andalou qui travaille en Catalogne», explique l'écrivain. Ces travailleurs vont ressentir, selon lui, une sorte de «frustration». Dans l'hémicycle de Barcelone, il ne fut question ce mercredi, dans les débats du moins, que de «cruauté» envers les animaux. Les députés régionaux n'ont fait qu'approuver une «initiative législative populaire» (ILP) qui, appuyée par 180 000 signatures, réclamait la fin de ce spectacle «barbare». Depuis plusieurs années, l'«aficion» pour les corridas des Catalans avait perdu en intensité. Les cinq arènes où la mise à mort du taureau était autorisée n'attiraient plus la foule y compris à Barcelone. La Catalogne devient ainsi la deuxième région ibère à interdire la tauromachie. L'archipel des Canaries l'avait fait depuis en 1991. Anticipant la décision catalane, plusieurs régions espagnoles, dont celle de Madrid, avaient annoncé leur intention d'inscrire la tauromachie à leur «patrimoine culturel» pour la protéger. Une victoire pour les défenseurs des animaux Les associations de défense des animaux ne s'en plaindront pas, notamment en France. Cette «victoire représente la porte ouverte à l'abolition de la tauromachie dans le monde entier», a exulté mercredi matin Aïda Gascon, la directrice de l'association espagnole AnimaNaturalis. De l'autre côté des Pyrénées, Claire Starozinski, la présidente de l'Alliance anti-corrida, jubile : «C'est une grande victoire, un vote symbolique qui préfigure ce qui va se passer en France dans quelques années». Pour la fondation Brigitte Bardot, «c'est une victoire de la dignité sur la cruauté». Du côté des passionnés de tauromachie, Marie Sara, l'ancienne vedette de la corrida à cheval, a réclamé mercredi que la tauromachie soit protégée en France. «La tauromachie est actuellement tolérée comme une tradition mais c'est plus qu'une tradition, c'est une culture majeure», a-t-elle déclaré. Pour elle, il s'agit de «protéger un art». De lourdes conséquences économiques Cette interdiction dans une région importante d'Espagne constitue un coup dur pour le monde taurin qui génère au niveau national quelque 40 000 emplois et plusieurs milliards d'euros de revenus chaque année. Et ce d'autant plus que l'Espagne traverse une crise économique sévère. Selon la presse, les professionnels pourraient saisir le Tribunal constitutionnel et demander une indemnisation à hauteur de 400 millions d'euros. Les corridas génèrent d'importants revenus, essentiellement dans les secteurs des loisirs et du tourisme (hôtellerie, voyage, etc). A Barcelone, les arènes ont reçu plus de 110 000 spectateurs en 2007, pour un prix moyen d'entrée à 40 euros, «l'un des plus chers en Espagne» selon l'étude, qui en déduit un chiffre d'affaires annuel de moins de 5 millions d'euros. Selon une étude de Vicente Royuela, professeur d'économie à l'université de Barcelone, réalisée pour la Plateforme de promotion et de défense de la corrida (PPDF) publiée dans «El Mundo», l'indemnisation éventuelle du secteur taurin, qu'il évalue entre 300 et 500 millions, reviendrait à un coût de 57 euros pour chaque Catalan.



@+

Patricia.

impressionnant
je prefère nettement à la corida

Je me demande si les toros partenaires de ce genre d'exhibition ''courrent'' plusieurs fois
Pcq tous les pros de la corrida te disent qu'un toro qui a combattu une fois ''s'éduque'' et devient beuacoup trop dangereux s'il revient dans l'arène
Peut être sont ils sacrifiés en rentrant au toril comme les toros de course portugaise qui ne sont pas abattus en piste

rochellou a écrit:

Je me demande si les toros partenaires de ce genre d'exhibition ''courrent'' plusieurs fois
Pcq tous les pros de la corrida te disent qu'un toro qui a combattu une fois ''s'éduque'' et devient beuacoup trop dangereux s'il revient dans l'arène
Peut être sont ils sacrifiés en rentrant au toril comme les toros de course portugaise qui ne sont pas abattus en piste

Je me posais la même question. Le taureau doit finir par comprendre les astuces des gars.

Le fait qu'ils soient abattus après ne me dérange pas, ce sont des animaux quand même élevés pour être tués.

Ce qui dérange, c'est de faire souffrir l'animal pour le plaisir d'un public, ça remonte aux arêne romaines et aux gladiateurs...

Tués après, proprement, pas de problème c'est leur destin.

Cette course de recortadores est pratiquée dans le Nord de l'Espagne essentiellement. Survivance de la forme primitive de la tauromachie jusqu'aà milieu du 19 ème. D'ailleurs les recordatores se retrouvent dans l'arène de la corrida, avec des figures d'évitement. Il n'y a pas de mise à mort de l'animal, ainsi que pour la course landaise ou camargaise.

rochellou a écrit:

Je me demande si les toros partenaires de ce genre d'exhibition ''courrent'' plusieurs fois
Pcq tous les pros de la corrida te disent qu'un toro qui a combattu une fois ''s'éduque'' et devient beuacoup trop dangereux s'il revient dans l'arène
Peut être sont ils sacrifiés en rentrant au toril comme les toros de course portugaise qui ne sont pas abattus en piste

en course camarguaise, où certes l'espèce concernée est moins "imposante", mais relativement agressive, les taureaux sont réutilisés plusieurs fois, ils deviennent même les vedettes que l'on va voir affronter les rasteurs : sur des affiches près de chez la grand-mère de Tom j'vaais vu "courses camarguaises avec Trucmuche, de l'élevage machin"
donc plus leur habitude de la joute augmente, plus ils sont cotés, les prix sont forts pour ceux qui font des figures avec et rasettent les glands et cocardes.
Je connais pas bien les taureaux espagnols, mais est-ce que ça pourrait faire pareil?

Les toros camargue sont quand même moins imposants et plus ''doùestiqués'' que les espagnols

J'ai regardé d'un demi oeil. Pour répondre à Roch, non, les taureaux ne peuvent le faire qu'une fois, ils sont bluffés par le comportement des gars et du coup ne savent pas trop comment réagir la première fois. La seconde, par contre....

On a le même principe avec les taureaux camargues : il y a des troupes de "clowns" qui tournent ici, qui ne rasètent pas. Ils font un peu comme sur la vidéo en gros. Ce sont des animations proposées lors des fêtes votives. Ben, ils ont une technique très au point façon chuchoteurs, les taureaux sont manifestement déboussolés. Mon voisin manadier me confirmait qu'ils n'utilisent que des jeunes de 2 ans environ, qui n'ont jamais vu d'arènes. La seconde fois, les taureaux (souvent des vaches en l'occurrence ...) ne se laisseraient plus prendre.

C'est l'intérêt de la course camargue : normalement, les taureaux se bonifient avec l'expérience, du coup les bons peuvent tourner longtemps (à raison de 5-8 courses par an). J'en ai connu de 16 et 20 ans qui courraient encore.

Par contre, je ne sais pas ce qu'ils font des taureaux espagnols utilisés dans cette vidéo. Pour moi, ils ne sont plus réutilisables en arènes : bien trop dangereux.

Les camargues eux peuvent repartir en course, au contraire !!!

ben à la limite, s'ils les envoient au couteau, et qu'ils gardent les meilleurs en reproducteurs, pourquoi pas...

Impressionnant ! Ca au moins c'est du spectacle !!!

Les pôvres bêtes qui pensaient pouvoir enfin s'en encorner un, elles doivent souffrir effroyablement de frustration , il faudrait les contenter de temps à autres

J'ai fait le rallye des gaves de jacques chancel il y a qq années ... épreuves intello + sportives et il y avait la même chose ; je suis descendue dans l'arêne (j'étais la seule fille)
Je dois quand même préciser par honnêteté que cela se passait avec des vachettes !
Je suis dans les landes donc la course de vachettes on connait mais là, les mecs ils sont "couilloux" purée il faut du courage, une vachette ça impressionne déjà alors un taureau j'admire et c beau ...
supporte pas la corrida inutile de préciser !

Garlonn a écrit:

J'ai regardé d'un demi oeil. Pour répondre à Roch, non, les taureaux ne peuvent le faire qu'une fois, ils sont bluffés par le comportement des gars et du coup ne savent pas trop comment réagir la première fois. La seconde, par contre....

On a le même principe avec les taureaux camargues : il y a des troupes de "clowns" qui tournent ici, qui ne rasètent pas. Ils font un peu comme sur la vidéo en gros. Ce sont des animations proposées lors des fêtes votives. Ben, ils ont une technique très au point façon chuchoteurs, les taureaux sont manifestement déboussolés. Mon voisin manadier me confirmait qu'ils n'utilisent que des jeunes de 2 ans environ, qui n'ont jamais vu d'arènes. La seconde fois, les taureaux (souvent des vaches en l'occurrence ...) ne se laisseraient plus prendre.

C'est l'intérêt de la course camargue : normalement, les taureaux se bonifient avec l'expérience, du coup les bons peuvent tourner longtemps (à raison de 5-8 courses par an). J'en ai connu de 16 et 20 ans qui courraient encore.

Par contre, je ne sais pas ce qu'ils font des taureaux espagnols utilisés dans cette vidéo. Pour moi, ils ne sont plus réutilisables en arènes : bien trop dangereux.

Les camargues eux peuvent repartir en course, au contraire !!!

Cf ce que j'ai écrit hier soir::d: ces taureaux ne sont pas tués et "servent" dans plusieurs courses.

palolim a écrit:

Cette course de recortadores est pratiquée dans le Nord de l'Espagne essentiellement. Survivance de la forme primitive de la tauromachie jusqu'aà milieu du 19 ème. D'ailleurs les recordatores se retrouvent dans l'arène de la corrida, avec des figures d'évitement. Il n'y a pas de mise à mort de l'animal, ainsi que pour la course landaise ou camargaise.

palolim a écrit:

Cf ce que j'ai écrit hier soir::d: ces taureaux ne sont pas tués et "servent" dans plusieurs courses.

[right]

Ben, je ne suis pas arrivée à comprendre alors que les taureaux étaient réutilisés

Car, pour les camargues, dans ce genre de "jeu", ils ne sont utilisés qu'une seule fois. Après,ils ne se laisseraient plus impressionner. Et pourraient devenir dangereux en levant la tête au moment des sauts par exemple.
Mais pas dramatique, ils partent alors en course traditionnelle. Dixit le manadier (= éleveur) qui a fournit des vachettes pour le spectacle...

D'où mon étonnement si les espagnols sont réutilisés... (sont plus gros mais moins malins alors ???)

Ca ressemble aux courses landaises, chose que j'adore! En tout cas, pour être descendue dans l'arène face à un veau (ben vi jsuis une fille, j'avais donc un animal adapté), ben je peux vous dire que les gars en ont dans le pantalon (moi face au veau j'étais pas allée à moins d'1m de la lisse)