LE BÊTISIER DES POLICIERS...
Il s'agit d'extraits de rapports de police qui ont été publiés dans une revue annuelle des policiers.
N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.
Le motif du vol était le meurtre.
Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions... par un grand silence.
Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite.
Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le devant.
L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.
La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer.
La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes.
Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.
Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.
Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler la police.
Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.
Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.
L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était en fait qu'un tissu de mensonges.
Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.
Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.
L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.
L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme, sans parvenir à s'y introduire.
Le défunt a formellement reconnu son agresseur.
Cinq des trois suspects ont été relâchés.
L'homme a juste eu le temps de déposer sa plainte sur le bureau avant de s'écrouler devant nos yeux qui n'ont rien compris.
Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
L'homme avait suffisamment gardé la tête froide pour ranger soigneusement les morceaux de corps au congélateur.
Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.
Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.
Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à le frapper.
Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit au poste de police.
une autre :
Bébé malin
Un accoucheur s’occupe d’une femme qui attend des jumeaux.
Le premier bébé sort, c’est un superbe garçon. Une tape sur les fesses et il pousse un cri vigoureux. Mais le deuxième bébé tarde à vouloir sortir.
Une heure passe, deux heures... L’accoucheur dit à la sage femme qu’il part déjeuner et de l’appeler quand il y aurait du nouveau.
Dès qu’il est parti, la sage femme entend:
... - Psssst !
- ???
- Psssssst !!!
Elle s’approche et distingue une petite main qui sort de sous le drap qui recouvre la femme et lui fait signe de venir !
Elle se rapproche encore et voit une petite tête qui pointe à l’orifice vaginal et dit tout bas :
- “Il est parti le monsieur qui donne des fessées”?
@+
Patricia.