Le festival a commencé !
Mercredi 31 01, c'était la présentation en avant première d'un film consacré à l'inventeur de Wonder Woman. Une vraie bonne surprise (dans l'équipe seule une personne l'avait vu, en Belgique) et une avant première nationale. Je recommande !
Et lundi 05, ouverture officielle de la compétition. Il m'est revenu l'honneur de présenter au micro le film d'ouverture. Al Berto, consacré à une figure de la poésie portugaise. Un film magnifique (même s'il a ses défauts, et peut-être quelques longueurs) qui relate le retour à Sinès (petit village côtier) de l'enfant du pays mais qui , issu de la haute bourgeoisie, avait fait ses études en Belgique. Nous voilà après la révolution des oeillets.
J'avais émaillé ma présentation d'une évocation (nostalgique
) de la liberté des années 70, où les garçons portaient la barbe, les cheveux longs bouclés et des chemises colorées, ouvertes sur des torses virils...
Petite fierté j'ai eu un beau succès (mais je l'avais préparé, tout est dans le détail, y compris l'infidélité à Coton Doux au profit des soldes Desigual!
).
Et pour plus d'infos, le reportage de F3, où nos coprésidents ont été très bien.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/ouverture-toulouse-du-11e-festival-cinema-images-aux-mots-1415635.html
Finalement, hier encore nous recevions un film (un de ceux perdus dans le colis de 3) et c'est un peu la course pour l'incrustation des sous-titres. Mais on va y arriver !
Et oui, hier aussi, la neige a empêché un réalisateur de rejoindre Orly pour venir présenter son film. Je m'y suis donc collé, cette fois-ci en improvisant davantage. Le témoignage de 30 ans de luttes contre le VIH par le fondateur d'Act Up Paris, Didier Lestrade. Un documentaire certes, mais pas seulement. Le réalisateur a fait un travail artistique en nettoyant 4 heures de rush et en y ajoutant des images d'archives en Super 8 exclusives, des images plus classiques de documentaires américains et des intermèdes musicaux.
Cela s'appelle The Doom Troubadour par Rémy Yadan et je vous encourage à le voir si vous en avez l'occasion.