a quel âge êtes vous partis de chez vos parents?

Partie à 18 ans à 35 km pour faire mes études (A/R tous les WE pendant 4 ans) puis à Paris pour la suite des études (A/R réguliers environ une fois par mois), pas indépendante financièement du tout.
Puis retour at home à 36 ans pour 14 mois suite à un licenciement et une séparation : dur dur après 18 ans loin de retrouvr un rythem "d'ado". 37 à 40 à Lille pour mes nouvelles études et de nouveau chez papa maman à 40 ans suite à une nouvelle séparation (je collectionne ). Une évolution par rapport au dernier passage chez eux : je vais mieux et j'hésite moins à vivre mavie.. mais n'empêche que le repas à heure fixe, toujours prévenir (c'est la moindre des choses), les "mange des haricots verts, c'est bon, ça se mange sans faim" "ha bon, tu vas promener tes chiens ?" etc etc c'est pas facile.
Mais je n'ai pas le choix si je veux enfin ce diplôme et j'en ai encore pour un an, donc j'assume !
Et avant tout, je remercie et je bénis chaque jour mes parents de m'avoir recueillie au rythme de mes errances personnelles, heureusement qu'ils sont là !!!!

Partie à 19 ans en province (je suis de RP) pour faire mon école pendant 2 ans puis 1 an à Londres.
Retour à Paris à 22 ans où j'ai commencé à bosser. J'ai pris un petit studio au bout de quelques mois et j'ai aussi acheté mon 1er cheval.
Puis un 2eme que j'ai recase puis un 3eme.
Entre temps j'ai changé d'appart 2 fois puis j'ai acheté mon 1er chez moi à 29 ans puis revendu et racheté plus grand à 33 ans.
Mes parents m'ont financé mes études (j'ai eu bcp de chance) par contre une fois études finies me suis debrouillé notamment avec les chevaux que j'ai tjs assumée seule.
Les chevaux leur grand desespoir, ils ont renoncé à m'en detacher lorsque j'ai fait naitre ma pouliche il y a 5 ans.
Puis là je viens encore d'en racheté un , ils sont dégoutés

ES a écrit:

Puis là je viens encore d'en racheté un , ils sont dégoutés

Ca y est, tu as trouvé ?!!! Tu nous montres quand ta merveille ? Qui quoi ??? et photos bien sûr

PS : presque désolée pour le HS

Citation :

Tu nous montres quand ta merveille ? Qui quoi ??? et photos bien sûr

Quand j'aurais pris le temps de faire des photos . Le We prochain peut être.
Maintenant je ne dirais pas que c'est une merveille mais je crois que ça pourra être pas mal

Ben pour moi, partie à 18 ans pour études sup, à 150kms, retour tous les deux week ends et vacances, autonome financièrement que partiellement, à 21 ans grosse crise avec mon père à cause du chéri de l'époque, genre "tu le quittes ou je te coupe les vivres", une semaine après j'ai plaqué études et famille pour suivre chéri et déménager à l'autre bout de la France, boulot puis reprise d'études à 24 ans en même temps que le premier bébé et relations suivies avec mes parents. pendant ma grossesse..ils ont déménagé à 35 kms de Toulouse quand j'avais 30 ans, pour la région qui leur plaisait et pour se rapprocher de moi et de leur première petite fille
Jamais il 'a été question de revenir chez eux. Impensable pour moi..et pour eux... Des parents indignes , qui estiment que leurs enfants étant adultes, ils restent là pour nous aider si besoin mais plus pour cohabiter...

Depart a 15 ans pension (seconde -> terminale avec retour hebdomadaire - a partir de 17 ans mono durant les gdes vacances ) et depuis bourlingue (maths/info-boulots-galeres-autres...) sans jamais avoir eu a demander quoi que ce soit a mes parents/grand-parents ( pas les moyens de toute maniere => bourses + jobs).
Ayant du mal a rester en place (? curiosité certainement ) aussi bien professionnellement qu'affectivement (j'ai vecu comme un deracine et je mene tjrs une vie dissolue et/ou instable...mais ca me convient ) , j'estime qd mm avoir la chance:

- de savoir ou sont mes racines et me dire que je pourrai "tjrs" revenir "chez moi" eventuellement (hier, ailleurs. a cote actuellement et demain ...).C'est ,en qqe sorte, mon port d'attache.
- d'avoir mes deux parents vivants et de pouvoir les faire enrager tjrs autant .

Precision importante : je suis issu d'une famille tres latine (liens familiaux tres forts meme si j'ai pris qqes petites raclees bien meritees ).

je suis partie à 18 ans à toulouse en prépa (la mon père m'aidait) puis je suis rentrée au bout d'un an (en habitant chez papa) pour faire la 2ème année deug de bio, et là c'est le drame, mon père me sort que je suis la dernière de 4 et que je ne peux pas rester à la maison il a besoin de sa liberté (non mais j'vous jure !)

en même temps je rachete mon cheval à ma soeur () , mon père pas du tout mais alors pas du tout ok : total : tu fais ca tu te demmerdes!
moi tétu !
me voila sans logement avec un crédit et mon canasson sur les bras
donc c'est la que j'ai bifurqué en droit pour avoir un cursus universitaire qui permet de travailler à coté (en bio c'était pas possible) donc depuis ce temps la je travaille 25 - 30 heures pas semaine avec la fac, mes congés au boulo sont pris pour les exams à la fac, j'ai fais de la coloc avec plusieurs personnes (bon heureusement que j'ai trouvé un boulo interressant)

donc j'ai bien galéré (surtout que mon père est trèèès aisé) et les choses vont mieux depuis l'année dernière qlorsque j'ai retrouvé ma mère au bout de 10 ans qui m'a pris le gros chez elle ( ) et que j'ai un chéri qui a sa maison ( )

A vous lire, je suis assez étonnée du nombre parti finalement assez tôt de chez les parents pour le pensionnat et les études. La taille des villes de résidence y est certainement pour qq chose. Ce qui voudrait dire que les grandes villes auraient tendance à maintenir les enfants plus longtemps chez les parents. De fait, habitant Lyon, je suis restée chez mes parents jusqu'à mon bac+2 et n'en suis partie que pour une poursuite de mon cursus ailleurs.
On en revient à "les voyages forment la jeunesse".

mouai enfin ca dépend des parents hein! je galerais dans mon studio à nice, mon père habitait un 250 m2 à 5 min (avec une chambre en rabe) ca m'aurait éviter de payer un loyer et ben il a pas voulu de moi, alors que je réclamais à revenir !

m'enfin j'ai jamais reussi à lui en vouloir... ni à ma soeur d'ailleurs (à qui j'ai racheté MON rétif, j'vous dit pas l'prix vous allez agoniser pour moi) pfffff j'suis trop brave !

Citation :

La taille des villes de résidence y est certainement pour qq chose

Oui je suis d'accord avec ça. Il est clair que si j'avais poursuivi mes études à Paris je serais probablement restée plus longtemps chez mes parents, qui n'auraient eu en aucun cas les moyens de me payer un logement sur Paris

Pour contredire Cath. Moi je suis partie de chez mes parents à 24 ans. Ils habitaient Nice en plein centre ville. J'ai fait toute mes études de comptabilité à Nice. Je pouvais aller à pied avec un trajet maxi de 45 mn. A 22 ans BTS en poche, j'ai eu mon 1e boulot mais je versais un loyer à mes parents. Après 2 ans de loyer parental je me suis lancée à prendre un appart . Depuis je vole de mes propres ailes. Je n'ai eu mon 1e cheval qu'à 28 ans en cadeau de mariage

charly a écrit:

mouai enfin ca dépend des parents hein! je galerais dans mon studio à nice, mon père habitait un 250 m2 à 5 min (avec une chambre en rabe) ca m'aurait éviter de payer un loyer et ben il a pas voulu de moi, alors que je réclamais à revenir !

Oui bon, sauf cas particulier de clash familial
Dans ce cas là, tu pars "avant terme" et donc dans des conditions pas faciles.

cath. a écrit:

A vous lire, je suis assez étonnée du nombre parti finalement assez tôt de chez les parents pour le pensionnat et les études. La taille des villes de résidence y est certainement pour qq chose. Ce qui voudrait dire que les grandes villes auraient tendance à maintenir les enfants plus longtemps chez les parents. De fait, habitant Lyon, je suis restée chez mes parents jusqu'à mon bac+2 et n'en suis partie que pour une poursuite de mon cursus ailleurs.
On en revient à "les voyages forment la jeunesse".

Pour moi , c'est tout à fait ça. On habitait une petite ville de Moselle frontalière. Les études c'était au plus près Metz, ou Nancy ou Strasbourg..Mes soeurs et mon frère ont eu le même type de parcours que moi. Je vous dit pas comme mes parents ont raclé les fonds de tiroirs pendant quelques années, trois filles étudiantes dans trois villes différentes...

Actuellement, le contexte écomique, la multiplication et la délocalisation des structures universitaires et de formation font que les enfants restent plus logtemps au nid.

palolim a écrit:

cath. a écrit:

A vous lire, je suis assez étonnée du nombre parti finalement assez tôt de chez les parents pour le pensionnat et les études. La taille des villes de résidence y est certainement pour qq chose. Ce qui voudrait dire que les grandes villes auraient tendance à maintenir les enfants plus longtemps chez les parents. De fait, habitant Lyon, je suis restée chez mes parents jusqu'à mon bac+2 et n'en suis partie que pour une poursuite de mon cursus ailleurs.
On en revient à "les voyages forment la jeunesse".

Pour moi , c'est tout à fait ça. On habitait une petite ville de Moselle frontalière. Les études c'était au plus près Metz, ou Nancy ou Strasbourg..Mes soeurs et mon frère ont eu le même type de parcours que moi. Je vous dit pas comme mes parents ont raclé les fonds de tiroirs pendant quelques années, trois filles étudiantes dans trois villes différentes...

Actuellement, le contexte écomique, la multiplication et la délocalisation des structures universitaires et de formation font que les enfants restent plus logtemps au nid.

A qui le dis tu entre mon frangin et moi 2 appart, 2 voitures, ....
la galère.
LE fait que je choisisse l'apprentissage après mon BAC a bien aidé, même si au début je n'avais que 2500 francs / mois, ça aidait bien.

J'ai quittée le giron familial à 23 ans, j'ai pas pû avant car j'avais 2 chevaux et mes parents me tenaient avec ça (si tu pars tu emmènes tes chevaux). Z'avaient pas envie que la petite dernière se barre . J'ai accumulé les jobs divers et variés entre le bac et 23 ans. A 23 ans j'étais proche du génocide familial (parents, soeurs, etc...), et quand on m'a proposé un boulot dans l'élevage peu payé, mais logé moi et les chevaux, j'ai foncé (les petits boulots ont complété) à plus forte raison qu'il pouvaient pas saquer zom . Ca été un vrai drame familial, avec les larmes et les menaces de mes parents, mais c'était sans appel et définitif. Depuis j'ai mis 600km entre eux et moi et je les voit 1 à 2 fois par an (jamais plus de quelques heures, sinon je me jette par la fenêtre). Fille indigne peut être, mais enfin libre

D'ailleurs le pire de mes cauchemars serait de revenir vivre avec eux (je préfère encore squatter dans un box )

cath. a écrit:

charly a écrit:

mouai enfin ca dépend des parents hein! je galerais dans mon studio à nice, mon père habitait un 250 m2 à 5 min (avec une chambre en rabe) ca m'aurait éviter de payer un loyer et ben il a pas voulu de moi, alors que je réclamais à revenir !

Oui bon, sauf cas particulier de clash familial
Dans ce cas là, tu pars "avant terme" et donc dans des conditions pas faciles.

le plus fou c'est que je fais l'objet d'une injustice flagrante!! ma grande soeur a eu l'appart et la pension des 2 chevaux, mon frere meme chose, l'autre soeur a vite travaillé donc pas eu besoin, et moi et ben non!! quand on dit que les derniers sont favorisés... pourtant je suis celle qui s'entend le mieux avec mon père ! enfin je me dit que c'est un mal pour un bien, si j'avais eu tout cuit dans l'bec j'en serais pt'etre pas la...

Je suis partie à 19 ans, en m'installant chez mon chéri (vêtement par vêtement, ça c'est fait tout naturellement, sans faire de véritables cartons).

Quant à lui, il est parti en sport-étude pour le lycée (donc vers 15 ans) et quand il est revenu après sn bac, il s'est installé seul en appart.

lambada a écrit:

tazhia a écrit:

par-contre financièrement c difficile

euh... vendre 3-4 chevaux ?

ben oui, mais non !!
car je compte bien pouvoir remettre en route mon élevage avec de nouvelle base, je ne peu donc vendre mes 2 poulinières et mes 2 étalons, suivie par mon premier poulain qui a maintenant 15 ans, que je monte et qui me sert de chef de troupe avec mes 2 entiers, et j'ai mes 2 retraités dont ma première poulinière !
j'ai pourtant vendu a gros regret mon arabe, car plus assez de place !

tazhia a écrit:

lambada a écrit:

tazhia a écrit:

par-contre financièrement c difficile

euh... vendre 3-4 chevaux ?

ben oui, mais non !!
car je compte bien pouvoir remettre en route mon élevage avec de nouvelle base, je ne peu donc vendre mes 2 poulinières et mes 2 étalons, suivie par mon premier poulain qui a maintenant 15 ans, que je monte et qui me sert de chef de troupe avec mes 2 entiers, et j'ai mes 2 retraités dont ma première poulinière !
j'ai pourtant vendu a gros regret mon arabe, car plus assez de place !

ben... reste la prostitution...



















suis loiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin

partie à 20 ans......jamais revenue....... ( beau père trop con....)...

@+

Patricia.

Partie à 15ans, jamais revenue sauf pour les vacances et quelques WE...
Toute ma famille est loin et ca me va trés bien, je sais qu'en cas de besoin je peux compter sur ma grand-mère mais en bossant et avec la vie de famille, ca va...

Beaucoup plus de mal avec BM... qui est à coté!!!

17 ans, bac en poche, je suis partie à 600 km direction Brioude pour le BTS; je ne revenais qu'aux vacances
Après 1 an de post BTS à Clermont idem que les vacances (rencontre avec l'homme)
Ensuite CS Lait à Villefranche de Rouergue, pareil je suis rentrée que 2/3 fois et embauchée le soir de mon exam (le 3/05/2001)!! Je suis devenue indépendante finacièrement là (un peu avant car rémunérée pendant mon stage).

Puis on a trouvé la ferme et on s'est installé à Guillaumes le 01/07/2002; j'en pouvais plus dêtre loin de ma famille. Là on est à 120 km de chez mes parents et ils montent le week end et je descends ts les 15 jours

partie à 26 ans ... pour cause avant de bourse de thèse insuffisante pour payer loyer et pension dada sur paris
j'ai fait ma tanguy et je ne le regrette pas du tout m'entend très bien avec ma moman qui elle a eu bcp de mal à se retrouver seule quand je suis partie à 350km

moi je suis restée chez ma mère jusqu'à la fin de mes etudes, à 21 ans, et l'année suivante ayant trouvé du boulot en ville et habitant à 35 km sans le permis j'ai pris un studio sur place... et faisait les aller retours au pré de mes poneys en mobilette
au début je rentrais le we chez ma maman (et mon beau père) mais l'ambiance avec mon beau père devant difficilement supportable j'y suis retourné de moins en moins souvent... jusqu'à la rencontre avec mon copain à 23 ans ou j'ai déménagé à 600 km de l'Allier avec les poneys !

je pense que meme en cas de gros coup dur je ne pourrais pas retourner chez ma mère, déjà au bout d'un we on a envie de s'entretuer

ID a écrit:

moi je suis restée chez ma mère jusqu'à la fin de mes etudes, à 21 ans, et l'année suivante ayant trouvé du boulot en ville et habitant à 35 km sans le permis j'ai pris un studio sur place... et faisait les aller retours au pré de mes poneys en mobilette
au début je rentrais le we chez ma maman (et mon beau père) mais l'ambiance avec mon beau père devant difficilement supportable j'y suis retourné de moins en moins souvent... jusqu'à la rencontre avec mon copain à 23 ans ou j'ai déménagé à 600 km de l'Allier avec les poneys !

je pense que meme en cas de gros coup dur je ne pourrais pas retourner chez ma mère, déjà au bout d'un we on a envie de s'entretuer

ingrid tu habitais où dans l'allier ?