Amy, mon bébé ange... 1 an déjà........

Elle me manque tellement... comment serait elle aujourd'hui si elle fêtait son 1er anniversaire à nos côtés?
Comment la vie peut être si injuste?
Tout ce chemin parcouru depuis un an, mais finalement, n'en est on pas au point de départ?
Ma petite Amy me manque et a laissé ce vide qui reste ancré dans mon coeur, meutri à jamais par cette perte si douloureuse...

tu me bouleverses à chaque fois...

que dire d'autre

bien évidemment, je ne peux que rajouter

d'un autre côté, pourquoi s'infliger la souffrance de "fêter" ce genre d'anniversaire? pourquoi ne pas laisser plutôt le temps et les vagabondages de la pensée faire leur oeuvre, y penser par moments, quand ça vient, et non pas s'infliger le phénomène de la "date précise"...
cela aide à aller de l'avant, ne nous bloque pas sur le passé, et ne remet nullement en cause la souffrance qui peut nous tarauder parfois... sauf que cela devient constructif, et non plus destructif par un retour en arrière récurrent à chaque date "fatidique"...

plein de soutien à toi pour avancer malgré tout...

cilia a écrit:

bien évidemment, je ne peux que rajouter

d'un autre côté, pourquoi s'infliger la souffrance de "fêter" ce genre d'anniversaire? pourquoi ne pas laisser plutôt le temps et les vagabondages de la pensée faire leur oeuvre, y penser par moments, quand ça vient, et non pas s'infliger le phénomène de la "date précise"...
cela aide à aller de l'avant, ne nous bloque pas sur le passé, et ne remet nullement en cause la souffrance qui peut nous tarauder parfois... sauf que cela devient constructif, et non plus destructif par un retour en arrière récurrent à chaque date "fatidique"...

plein de soutien à toi pour avancer malgré tout...

Tu as raison Cilia, mais je crois que Carole subit plus cet anniversaire qu'elle ne le "fete" volontairement.
C'est difficile à expliquer, parce que ceux qui sont "partis" sont très présents dans les pensées des proches qui sont restés. Il y a parfois une relation si forte que même décédés, ils sont là, juste à coté de nous, il nous rende visite dans nos pensées, ils sont dans nos vies.

Comment Carole pourrait ne pas vivre ce jour précis de cette façon ?
Cela s'estompera au fur et à mesure des années, tout comme elle a du vivre fortement l'absence d'Amy chaque date anniversaire de chaque mois au cours de la 1ere année, elle doit maintenant parfois vivre moins intensément l'absence d'Amy chaque date anniversaire.. d'ici pls années, cette date sera de - en - pénible, sans pour autant alterer son amour pour sa fille.
Je comprends que Carole ait besoin de s'exprimer, j'espère qu'elle a en plus de nous, des "oreilles" moins virtuelles auprés d'elle.

Je n'ai pas perdu d'enfant, j'ai perdu ma soeur. C'était le 7 juin 2009, le 7 juin 2010 a été extrêmement difficile pour moi. J'imagine la detresse qu'on doit ressentir lorsqu'il s'agit d'un enfant, surtout dans les conditions qu'on connait.

Courage Carole, je ne peux rien faire de plus pour toi que de prendre un peu de ta peine à ma charge.

Plein de .
Je suis d'accord avec Sand, on ne "fête" pas ces anniversaires là, ils s'imposent tout seuls. J'ai perdu ma mère en 1995, je continue à remarquer tous les ans le 7 mars. Evidemment j'en souffre de moins en moins mais ça reste toujours là.

oui, je me suis mal exprimée, je comprends parfaitement que c'est aussi subi, mais peut-être que d'éviter d'y penser en tant que "date", ce qui fait fatalement anticiper et dramatiser encore plus, ça peut aider à avancer?

Pour ma part, je n'ai toujours pas digéré la mort de mon grand-père en 2008. Bon, un grand-père, c'est l'ordre des choses... sauf que ça s'est mal et longuement passé, et que je revois toute cette souffrance dont il a été délivré bien trop tard...
il est mort le 18, et nous l'avons enterré le 23 décembre...

j'y pense, et pas forcément à ces dates-là, voire même pas du tout à ces dates-là... je n'aime pas en fait le "culte de la date" (attention, hein, je ne dis pas qu'il est volontaire, il est bien souvent subi) mais j'ai toujours réagi de manière à m'écarter des dates pour ne pas me bloquer, justement parce que ces expériences douloureuses, elles sont constitutives de ma personne, et même si elles sont tristes, je ne souhaite pas qu'elles soient un frein avec des périodes de tristesses "datées" que je trouve un peu malsaines dans le sens où elles interdisent toute possibilité de régénération et d'oubli de la douleur.

Après, c'est très personnel hein !
Je dois tenir ça de l'observation de ma grand-mère très "méditerranéenne" dans son fonctionnement qui se martyrise chaque année à l'anniversaire de la date de la mort de mon grand-père (l'autre, pas celui qui est mort y a 2 ans) décédé, lui, en 1992...
elle a complètement bloqué sa vie autour de cela...

Tendres pensées pour toi Carole et pour ta petite Amy
que cette journée soit la plus douce possible

cilia a écrit:

j'y pense, et pas forcément à ces dates-là, voire même pas du tout à ces dates-là... je n'aime pas en fait le "culte de la date" (attention, hein, je ne dis pas qu'il est volontaire, il est bien souvent subi) mais j'ai toujours réagi de manière à m'écarter des dates pour ne pas me bloquer, justement parce que ces expériences douloureuses, elles sont constitutives de ma personne, et même si elles sont tristes, je ne souhaite pas qu'elles soient un frein avec des périodes de tristesses "datées" que je trouve un peu malsaines dans le sens où elles interdisent toute possibilité de régénération et d'oubli de la douleur.

je suis d'accord avec toi Cilia
j'ai perdu ma maman, le 25 décembre 2006 , et ce n'est pas ce jour là que j'ai envie de penser à elle mais bien aux autres moments ,aux autres dates pleines de bon souvenirs

mais pour un enfant né sans vie, tu n'as pas d'autres moment heureux à te remémorer
la seule date qu'il te reste c'est ce jour si particulier de sa naissance.

bien sur avec le temps , comme dans tous les deuils , cet anniversaire sera moins douloureux mais toujours bien présent .

dans un peu plus d'un mois , ce sera les 5 ans de mon étoile... et pour moi une journée un peu particulière

Karine29 a écrit:

cilia a écrit:

j'y pense, et pas forcément à ces dates-là, voire même pas du tout à ces dates-là... je n'aime pas en fait le "culte de la date" (attention, hein, je ne dis pas qu'il est volontaire, il est bien souvent subi) mais j'ai toujours réagi de manière à m'écarter des dates pour ne pas me bloquer, justement parce que ces expériences douloureuses, elles sont constitutives de ma personne, et même si elles sont tristes, je ne souhaite pas qu'elles soient un frein avec des périodes de tristesses "datées" que je trouve un peu malsaines dans le sens où elles interdisent toute possibilité de régénération et d'oubli de la douleur.

je suis d'accord avec toi Cilia
j'ai perdu ma maman, le 25 décembre 2006 , et ce n'est pas ce jour là que j'ai envie de penser à elle mais bien aux autres moments ,aux autres dates pleines de bon souvenirs

mais pour un enfant né sans vie, tu n'as pas d'autres moment heureux à te remémorer
la seule date qu'il te reste c'est ce jour si particulier de sa naissance.bien sur avec le temps , comme dans tous les deuils , cet anniversaire sera moins douloureux mais toujours bien présent .

dans un peu plus d'un mois , ce sera les 5 ans de mon étoile... et pour moi une journée un peu particulière

Oui, ce matin d'ailleurs, en me réveillant, je n'y ai pas prêté attention quand un vilain tiraillement dans le ventre quelques minutes après mon levé m'a pris et m'a rappelé qu'à cette date il y a un an, ma petite arrivait, que je la voyais pour la seule et unique fois de ma vie et alors je me remémorais son petit visage et malgré tout ce que la réalité me projetait en pleine figure, j'étais sereine de la voir, de voir qu'avec ce qu'elle avait rien que pour son bras la vie aurait été difficile pour elle et cela reste le seul souvenir, cette rencontre inoubliable, un anniversaire particulier mais existant et n'ayant qu'une histoire très courte mais intense.

Et au même titre que mes autres enfants, elle a eu des cadeaux sur sa tombe, des dessins de ses grands frères, même s'ils en font souvent pour Amy, cela me marque qu'ils pensent souvent à elle, et surtout qu'ils en parlent sans tristesse et me pose des questions, ça m'aide beaucoup et ne me peine pas au contraire, elle continue à vivre à travers nous, notre histoire.

La perte d'un enfant est terrible ... Plein de courage pour cette difficile journée !

Oui, tout plein de pensées pour toi Carole

Courage

comme d'habitude, je suis sans voix et très émue par ton histoire
je pense fort à toi en ce jour bien particulier...
amitiés

Je vais faire ma vilaine insensible comme Cilia.
J'ai vu le titre du post et vraiment, je n'ai pas compris. Que ce soit une journée particulière pour toi, je n'en doute pas, mais faut-il l'afficher sur un forum public ? (Après les anniversaires des vivants, ouvrons donc une rubrique des morts.)
Ne pas accepter les choses, c'est SE maintenir dans la souffrance. Est-ce bien utile ?
On le fait souvent inconsciemment. Mais quand on en a pris conscience, on se rend compte qu'on ne fait qu'entretenir de la souffrance.

Cilia (encore !) > ma grand-mère maternelle a fait comme la tienne. Pfff, tu parles d'un cadeau pour les autres à vivre pour les morts.

cath. a écrit:

Je vais faire ma vilaine insensible comme Cilia.
J'ai vu le titre du post et vraiment, je n'ai pas compris. Que ce soit une journée particulière pour toi, je n'en doute pas, mais faut-il l'afficher sur un forum public ? (Après les anniversaires des vivants, ouvrons donc une rubrique des morts.)Ne pas accepter les choses, c'est SE maintenir dans la souffrance. Est-ce bien utile ?
On le fait souvent inconsciemment. Mais quand on en a pris conscience, on se rend compte qu'on ne fait qu'entretenir de la souffrance.

Cilia (encore !) > ma grand-mère maternelle a fait comme la tienne. Pfff, tu parles d'un cadeau pour les autres à vivre pour les morts.

Merci Cath, tu es d'un véritable soutien, tu as ma parole, tu n'en entendras plus jamais parler...

Cath, tu es un peu lourde là franchement!

Si ça te dérange, tu n'es pas obligée, ni de lire, ni de participer.

c'est dit de manière abrupte et ça t'a blessée, mais je pense que le but est plutôt de te faire réagir et de mettre le doigt sur un comportement qui risque d'être "malsain" pour toi et ta famille...

en "commémorant", tu te mortifies et tu t'ancres dans le passé, tu donnes de l'importance au malheur, et tu ne peux pas le dépasser pour essayer de retrouver de la sérénité, un peu comme si tu te punissais systématiquement...

Ca me fait penser aux générations précédentes, qui faisaient tous les ans une messe en mémoire de leurs morts... c'est aussi une manière de s'interdire le bonheur en cultivant la douleur du passé.

Or, ça n'est pas parce qu'on ne "commémore" pas qu'on n'aime pas ceux qui ont disparu et qu'on n'y pense pas, tu vois toi-même que ta petite est présente à travers toi tout le temps. Ne pas marquer le coup, ne pas cultiver ce rapport au temps qui s'écoule "depuis que le malheur est arrivé", c'est aussi se donner une chance de pouvoir continuer. S'arrêter sur les dates, c'est se forcer à retourner au passé, en quelque sorte s'interdire de vivre sereinement.

Je te souhaites de tout coeur de dépasser ce stade, pour être + sereine et apaisée et vivre pleinement le présent.

ptiteblue a écrit:

Cath, tu es un peu lourde là franchement!
Si ça te dérange, tu n'es pas obligée, ni de lire, ni de participer.

J'ai bien été obligée de lire le titre et à vrai dire je n'avais pas ouvert le post avant que cilia ne m'en parle.
MOI je trouve lourd d'avoir à trouver sur un forum chevaux une commémoration d'un mort qui ne me concerne pas. Qu'on parle un peu du sujet comme thérapie collective, ok. Mais pourquoi moi, je ne vous mettrais pas les anniversaires de ma grand-mère décédée au printemps 2009 et de ma mère le 25 décembre dernier (d'ailleurs on pourra faire un pack avec Karine29). D'où mon humour noir relou sur les post post-mortem à ouvrir.
Si on a besoin de vivre continuellement dans la souffrance, si on a besoin de l'exposer en grand public, il me semble qu'il s'agit d'un dysfonctionnement. Et j'engage flika08 à s'interroger sur ses sentiments et ses comportement, ce qu'ils représentent vraiment parce qu'il me semble qu'elle se trompe de chemin pour vivre sereinement et vivre tout court.

PS : ça vaut aussi pour Braymondval avec sa brebis (excusez, mais j'hallucine par son comportement et par toutes vos réactions).
J'ai peut-être le courage de dire ce que d'autres pensent sans l'écrire. Je ne vois pas pourquoi on entendrait toujours la voix des souffrants qui imposent un tabou. S'ils veulent vivre avec leurs souffrances, qu'ils nous lâchent. Je ne me sens aucunement obligée d'avoir à les porter pour eux. Ils nous demandent de faire ce qu'ils ne sont pas capables de faire eux : accepter. Ce n'est pas de l'égoïsme mais de l'inutilité à entretenir une souffrance individuelle et collective.

Flika08 > j'ai pas l'intention de vivre dans cette souffrance. J'ai la ferme intention de déposer sur le bord de la route le sac de ma mère et ma grand-mère et d'avancer pour moi. J'ai fait du chemin, mais je ne dors toujours pas. C'est que la route est longue pour apprendre à vivre apaisé.

pourquoi ce post, parce que l'oublie est la pire des choses lorsque tu as perdu un enfant.
Mais bien sur il faut avoir perdu un enfant pour le ressentir.
Flicka 08 a juste besoin que l'on oublie pas sa petite puce, pour pouvoir un jour avancer.
C'est ainsi , nous avons besoin du souvenir pour pouvoir faire son deuil et un jour la souffrance se fait moins forte, le vide en soit est moins présent, la vie prends le dessus mais c'est un long chemin à faire et chacuns réagis differement.

mais ce n'est pas parce qu'on ne marque pas la date que l'on oublie...
je pense qu'il y a une différence entre se souvenir et s'imposer de la souffrance à dates précises, ressasser le passé...
alors peut-être est-ce la 1ère année que c'est dur, je peux le comprendre... mais là on n'est pas dans un souvenir "apaisé" (je me doute que poru un enfant ça ne sera que très difficilement apaisé, j'ai 2 copines qui ont perdu les leurs, une in utero avant le terme, l'autre par suicide à l'adolescence...)
en quelque sorte, ça me donne la sensation de se faire du mal inutilement... l'utilité, c'est d'avoir le souvenir en soi, de le ressortir quand on s'en sent capable, quand on en a besoin, quand on est assez fort pour y faire face, et surtout sans se bloquer.

Ce n'est pas question d'oublier, c'est plutôt de ne pas s'empeser de la douleur pour ne garder que le "positif" ou le supportable et continuer d'avancer.
Une vie a été détruite, ce n'est pas la peine de détruire les autres, elles ont le droit d'exister sereinement.

En gros, déculpabiliser et se donner le droit de vivre, d'être heureux malgré le malheur qu'on a vécu, accepter de faire la route sans celui qu'on a perdu, accepter de le laisser au bord du chemin parce qu'on n'a pas maîtrisé, et qu'on n'est pas responsable. Ne pas l'oublier, mais arrêter de se retourner vers lui : continuer avec son souvenir, dans le présent, pour soi et pour ceux qui restent.

Ce n'est pas le malheur et le passé qui doivent être le centre de l'organisation de la vie actuelle, mais la vie actuelle, présente, qui doit être au centre. Le reste se greffe dessus, comme autant d'expériences heureuses et malheureuses qui construisent notre personnalité et guident nos actes. Le risque est de s'enfermer dans une spirale morbide et paralysante...

Gwenou a écrit:

Flicka 08 a juste besoin que l'on oublie pas sa petite puce, pour pouvoir un jour avancer.

Je ne suis pas d'accord. Tout montre au contraire qu'elle est figée sur le passé et ne peut pas avancer. Conserver le souvenir, c'est avoir la mémoire de, y penser comme ça à l'improviste parce que les évènements nous y font penser, mais en aucun cas ressasser perpétuellement la souffrance et la douleur. Flika08 nous dit même qu'elle vit physiquement cette douleur par des maux de ventres. Elle psychosomatise complètement.

Et puis c'est pas parce qu'on n'étale pas sa vie qu'on ne connaît pas des difficultés. Le deuil de ma mère n'est pas passé comme une lettre à la poste. Mais au lieu de me morfondre sur ce qui m'arrive et faire chier grave tout le monde avec, j'ai pris le taureau par les cornes pour comprendre les mécanismes psychologique. Et c'est d'ailleurs parce que j'en avais marre de faire chier grave les autres et surtout moi-même, que j'en avais marre de cette souffrance avec laquelle je ne me voyais pas passer le reste de ma vie que j'ai été gratter au fond du sac. Ce que j'y trouve, je le laisse volontiers au bord de la route pour poursuivre plus légère. Ca fait un bien fou. Gérer son problème avec soi-même ne veut pas dire qu'on efface le souvenir.
Au lieu de préférer vivre dans la peur de perdre un souvenir pour entretenir une souffrance, j'ai fait le choix de prendre le chemin de la paix, ce qui nécessite de passer à l'action au lieu de ressasser. C'est pas facile tous les jours. Ceux avec qui j'échange de temps en temps savent par quel manège de grand huit je passe.

carole j'ai bien pensé à toi aujourd'hui

Cath, on ne peut pas comparer la perte d'un enfant à la perte d'un parent!

La perte d'un pareent est la suite logique de la vie, et c'est tant mieux!
La perte d'un enfant, ce n'est pas normal, ce n'est pas dans la logique des choses, de la vie.

Bcp de parents sont brisés à vie par cette perte, peu sont les enfants brisés à vie par la perte de leurs parents à un age "normal"!

Ce n'est pas parce qu'elle partage son souvenir et sa peine qu'elle n'avance pas. Elle a des projets, avec ses jumeaux, et je l'espère un futur bébé en bonne santé et plein de vie! Carole ne vit pas dans le passé, elle se souvient, elle se souvient sans doute chaque jour un peu moins fort, mais les dates font remonter les souvenirs à la surface.

La comparaison est stupide, mais chauqe année le 26 juin je me souviens de Blue qui est morte ce jour là. Et je penserai chaque année le 15 aout à Bonnie qui est morte aussi.
Dans 20 ans j'y penserai sans doute encore, me remémorant les souvenirs heureux. Ben voila, ce n'est pas comparable, mais ça me permet d'avancer.

Et comme déja dit, Carole ne peut pas garder de souvenirs heureux de sa puce, ça n'aide certainement pas à avancer.

Dsl pour la tartine, mais à force de se cotoyer tous les jours, on connait tous une petite partie de la vie de l'autre, certains s'étalent plus, et alors?