un bon bouquin à lire !!!

herve a écrit:

Cela étant je pense qu'il faut accepter de ne pas TOUT comprendre. Si tu t'arrêtes à chaque mot, non seulement tu n'as pas fini mais tu vas te lasser.
Ton cerveau, peu à peu va s'habituer aux mots et aux tournures récurrents.  

+1

Tu as raison, surtout ne pas essayer de traduire dans sa tête!

Oui H. Potter j'ai lu en français ...à refaire en VO alors.
Ma liseuse est un truc ignoble où je n'arrive pas à télécharger quoi que ce soit (bon ok faudrait que je me penche VRAIMENT sur le problème).
Mais dès que j'ai de nouveau un budget lecture (après la rentrée probablement parce que là entre les fournitures scolaires, les différentes adhésions, licences & les vélos des petits à changer..ça va bien les dépenses) je cherche ça.
J'ai raté l'occasion ce week end, j'avais repéré des gens qui vendaient des livres anglais sur la brocante, mais j'ai été bien occupée avec mon "stand" et quand je me suis libérée ils n'étaient plus là

Oui je me suis lancée dans les brocantes durant 2 week end: ça vide le grenier, le garage et ça sponsorise l'achat des vélos neufs (ya pas de petits économies et j'aime bien l'idée)

J'ai testé Outlander (sur les conseils de Flika ici), acheté sur Amazon et à lire avec l'appli Kindle.
A la différence de Flika qui n'avait pas cette chance (mais comme elle était aux USA personne ne va la plaindre ! ), chaque fois qu'un mot me pose des questions (et il y en a beaucoup) je n'ai qu'à cliquer dessus et ce n'est pas une traduction qui apparaît, mais une définition.
Je trouve que c'est vraiment bien pour lire en anglais avec plaisir.

Il est vrai cependant que j'ignore si ces prestations sont offertes avec tous les e-books achetés sur Amazon.

herve a écrit:

J'ai testé Outlander (sur les conseils de Flika ici), acheté sur Amazon et à lire avec l'appli Kindle.
A la différence de Flika qui n'avait pas cette chance (mais comme elle était aux USA personne ne va la plaindre !  ), chaque fois qu'un mot me pose des questions (et il y en a beaucoup) je n'ai qu'à cliquer dessus et ce n'est pas une traduction qui apparaît, mais une définition.
Je trouve que c'est vraiment bien pour lire en anglais avec plaisir.

Il est vrai cependant que j'ignore si ces prestations sont offertes avec tous les e-books achetés sur Amazon.

Mais euh, c'est moi qui en ai parlé la première d'abord , le système de définition en anglais c'est World Wise, quand tu achètes un kindle sur amazon, c'est précisé si c'est disponible ou pas. Et sinon, ça te plaît? Pour moi, c'est au même niveau qu'Angélique dans mon panthéon personnel, c'est pas peu dire!!

Ok
tu as raison et en plus je n'avais qu'à remonter une page pour m'en assurer.
Mais j'avais imprimé le fait que Flika avait du le lire lors de sa parution (ce qui, en la relisant, n'est nullement mentionné).

Bref oui c'est très bien.
En fait avant de l'acheter j'ai téléchargé la série (en vost aussi) et 40 minutes m'ont convaincu.
En lisant le bouquin je retrouve des répliques de la série.
Je pense que je le regarderai après. Quand j'aurai achevé le livre 1.

Il y a autant de sexe que dans Angélique ? C'est présenté comme un roman "épique et galant" dans les commentaires des lecteurs. Pour l'instant rien de très érotifiant. Nous ne nous sommes pas encore promenés sous les kilts. Vivement !


Sinon je vais me mettre à Grey et à toutes ses nuances (pour perfectionner un anglais technique qui pourrait se révéler utile après tout).

Dans la série ou dans les films? Oui, et c'est très bien écrit, et dans le film, l'acteur qui interprète Jamie est tout simplement divin sans son kilt. Ils sont en train de tourner la saison 2 en ce moment d'ailleurs.

Personne pour conseiller un bouquin ?

Une nouvelle parution de Yvon Le Men, je ne sais le titre mais il s'agit de son passage dans le quartier de Maurepas à Rennes.
Yvon le Men, je suis fan depuis 40 ans.
Un bon paquet d'ouvrage depuis sa première publication " Vie" chez PJ Oswald.
Plusieurs bouquins  que j'ai bien aimé : " Elle était un fois " , " La clef de la chapelle est au café dans face " , " On est sérieux quand on a dix-sept ans ".
Si vous voulez je vous expédie ces ouvrages, je peux !
Seule condition le retour.

jy2242 a écrit:

Plusieurs bouquins  que j'ai bien aimé : " Elle était un fois " , " La clef de la chapelle est au café dans face " , " On est sérieux quand on a dix-sept ans ".
Si vous voulez je vous expédie ces ouvrages, je peux !
Seule condition le retour.

Suis preneuse !
Tu me dis juste à combien se montent les frais d'envoi et pour le retour, je pense que tu peux me faire confiance

flika a écrit:

jy2242 a écrit:

Plusieurs bouquins  que j'ai bien aimé : " Elle était un fois " , " La clef de la chapelle est au café dans face " , " On est sérieux quand on a dix-sept ans ".
Si vous voulez je vous expédie ces ouvrages, je peux !
Seule condition le retour.

Suis preneuse !
Tu me dis juste à combien se montent les frais d'envoi et pour le retour, je pense que tu peux me faire confiance

Je pense que le truc sympa serait que je t'expédie les bouquins en prenant à ma charge les frais d'envoi.
Charge à toi de les confier à autrui.
Juste un petit commentaire de temps en temps sur le forum.
Il y a aussi dans les ouvrages un entretien de Yvon Le Men et Michel Le Bris : "Fragments du royaume"
Adresse par MP, please !

Je fais certainement faire des redites, mais bon...

J'agrémente - en italique - du résumé publié sur BABELIO (que je recommande).

"Je dirai malgré tout que cette vie fut belle", d'Ormesson. Suis dedans, j'aime bien.
Pour se défendre dans un procès qu’il s’intente à lui-même, l’auteur fait défiler au galop un passé évanoui. Il va de l’âge d’or d’un classicisme qui règne sur l’Europe à l’effondrement de ce «monde d’hier» si cher à Stefan Zweig. De Colbert, Fouquet, Bossuet ou Racine à François Mitterrand, Raymond Aron, Paul Morand et Aragon.
Mais les charmes d’une vie et les tourbillons de l’histoire ne suffisent pas à l’accusé :
«Vous n’imaginiez tout de même pas que j’allais me contenter de vous débiter des souvenirs d’enfance et de jeunesse? Je ne me mets pas très haut, mais je ne suis pas tombé assez bas pour vous livrer ce qu’on appelle des Mémoires.»
Les aventures d’un écrivain qui a aimé le bonheur et le plaisir en dépit de tant de malheurs cèdent peu à peu la place à un regard plus grave sur le drame qui ne cesse jamais de se jouer entre le temps et l’éternité, et qui nous emportera.


"Toute la lumière que nous ne pouvons voir", Anthony Doerr. Magique. Prenant et très bien écrit.
Véritable phénomène d’édition aux États-Unis, salué par l’ensemble de la presse comme le meilleur roman de l’année, le livre d’Anthony Doerr possède la puissance et le souffle des chefs-d’œuvre. Magnifiquement écrit, captivant de bout en bout, il nous entraîne, du Paris de l’Occupation à l’effervescence de la Libération, dans le sillage de deux héros dont la guerre va bouleverser l’existence : Marie-Laure, une jeune aveugle, réfugiée avec son père à Saint-Malo, et Werner, un orphelin, véritable génie des transmissions électromagnétiques, dont les talents sont exploités par la Wehrmacht pour briser la Résistance.
En entrecroisant avec une maîtrise éblouissante le destin de ces deux personnages, ennemis malgré eux, dans le décor crépusculaire d’une ville pilonnée par les bombes, Anthony Doerr dessine une fresque d’une beauté envoûtante. Bien plus qu’un roman sur la guerre, Toute la lumière que nous ne pouvons voir est une réflexion profonde sur le destin et la condition humaine. La preuve que même les heures les plus sombres ne pourront parvenir à détruire la beauté du monde.


"Mémé dans les orties", Aurélie Valognes. Du sentiment sans verser dans le gnan gnan, un agréable moment de lecture.
Mémé dans les orties suit les tribulations hilarantes d’un octogénaire atypique, en proie à des difficultés relationnelles,
Ferdinand Brun est atypique. Le genre de vieux monsieur qui boude la vie et s’ennuie à (ne pas) mourir. Tel un parasite, il occupe ses journées en planifiant les pires coups possibles qui pourraient nuire et agacer son voisinage. Il suffit d’un nœud qui se relâche et laisse partir son seul compagnon de vie, Daisy sa chienne, pour que tout s’écroule.
Quand Juliette, une fillette de dix ans, et Béatrice, la plus geek des grands-mères, forcent littéralement sa porte pour entrer dans sa vie, Ferdinand va être contraint de se métamorphoser et de sortir de sa chrysalide, découvrant qu’il n’est jamais trop tard pour commencer à vivre …


"D.", Robert Harris. L'affaire Dreyfus. Très bien écrit, captivant.
Paris, janvier 1895. Par un matin glacial, un officier de l'armée, Georges Picquart, assiste devant vingt-mille personnes hurlant " À mort le juif ! " à l'humiliation publique d'un capitaine accusé d'espionnage : Alfred Dreyfus. Picquart est promu : il devient le plus jeune colonel de l'armée française et prend la tête de la section de statistique – le service de renseignements qui a traqué Dreyfus. Dreyfus, lui, est condamné au bagne à perpétuité sur l'île du Diable, il n'a le droit de parler à personne, pas même à ses gardiens, et son affaire semble classée pour toujours. Mais, peu à peu, Picquart commence à relever des éléments troublants dans l'enquête, tout en lisant les lettres de Dreyfus à sa femme dans lesquelles celui-ci ne cesse de clamer son innocence. Et quand le colonel découvre un espion allemand opérant sur le sol français, ses supérieurs refusent de l'écouter. En dépit des avertissements officiels, Picquart persiste et va se retrouver lui aussi dans une situation délicate.


"Le jardin blanc", Stephanie Barron. Jeune paysagiste voulant recréer le jardin blanc de Virginia Wolf
Et si Virginia Woolf ne s'était pas suicidée le 28 mars 1941 ?
En octobre 2008, Jo Bellamy, jeune paysagiste américaine, arrive à Sissinghurst, dans le Kent, pour étudier le célèbre jardin blanc créé par l'amie de Virginia Woolf, Vita Sackville-West.
Un jour après l'annonce de son départ, son grand-père Jock, d'origine britannique, se suicide. Jo découvre qu'il avait lui-même travaillé dans ce jardin pendant la Seconde Guerre mondiale et décide de profiter de son voyage pour comprendre son geste.
À Sissinghurst, Jo découvre par hasard un journal intime parmi les archives des jardiniers. L'étiquette porte le nom de son grand-père, mais, en le déchiffrant, elle doit se rendre à l'évidence : ce journal n'est pas le sien.
Soupçonnant son auteur d'être Virginia Woolf, elle file le faire expertiser chez Sotheby's. Là, on lui concède que le style et les thèmes rappellent en effet Woolf... à un détail près : les dates.
Le 28 mars 1941, Virginia a rempli ses poches de pierres avant d'aller se noyer dans l'Ouse. Or le journal commence le 29. Des détails du journal amènent Jo à jouer avec cette idée : et si Virginia Woolf ne s'était pas suicidée ?
Si on l'avait tuée ? D'Oxford à Cambridge, de demeures prestigieuses en bibliothèques légendaires, dans des jardins dont la splendeur dissimule d'obscurs secrets, Jo traque la vérité sur les derniers jours de la romancière. Mais elle n'est pas la seule, et bientôt le journal est volé...
Un roman à la fois érudit, léger et riche en rebondissements qui ravira les amoureux d'une Angleterre traditionnelle où le feu couve sous les bonnes manières.

jy2242 a écrit:

Je pense que le truc sympa serait que je t'expédie les bouquins en prenant à ma charge les frais d'envoi.
Charge à toi de les confier à autrui.
Juste un petit commentaire de temps en temps sur le forum.

Effectivement, le concept est très sympa, j'adhère !
MP pour l'adresse

"Un sac" de Solène Bakowski. Waw, pas facile (dans le mental) mais si bien fait. On arrive même pas à détester l'héroïne.

"Trois jours et une vie" de Pierre Lemaître.
Je m'attendais à un chef d'oeuvre, j'ai été déçue. Je suis restée sur mon impression de "Au-revoir là-haut"...

j'ai emprunté "Charlotte" à la bibliothèque: lu hier soir.
Et là je vais essayer de combler qlq lacunes culturelles: j'attaquerai cet apm (pdt l'entrainement d'Elise) "Voyage au bout de la nuit"
pas d'idée pour la suite, il ya bcp de sorties qui semblent intéressantes mais mon budget loisir risque de totalement passer dans...la reprise du poney

Pour sortir des policiers nordiques, j'ai celui ci en ce moment


Naples au XVIIIe siècle autour de la vie d'un castra.

Je viens de finir la pièce de JK Rowling et coll.

Bah finalement j'ai trouvé ça très très bien.
Très adroitement écrit, on y retrouve tous les personnages que nous avions eu du mal à quitter à l'issue du tome 7, et des nouveaux.

Je ne veux pas spoiler donc je ne vais pas révéler l'intrigue. Mais nous qui avions traversé les affres de l'adolescence avec Harry nous le retrouvons (ce n'est pas une grosse surprise) face à un adolescent (son fils) en pleine révolte face à un papa super célèbre.

L'histoire est bien dans la veine des précédentes, avec de nombreux rebondissements.

Après avoir lu la pièce, je me demande bien comment ça peut donner sur scène, car les effets spéciaux sont assez énormes. Je n'imagine pas aller à Londres la voir (ça doit être complet) donc peut être vais je attendre que cela soit monté sur Paris.

cath. a écrit:

Et tu as trouvé comment? Je ne l'ai pas lu non plus.

Je suis dans celui-là en ce moment

Idem. Replongée dans les polars nordiques, j'avais fait une cure de désintox, râtée J'étais partie vers les auteurs japonais http://www.senscritique.com/top/resultats/Les_meilleurs_romans_japonais/598579

herve a écrit:

Je viens de finir la pièce de JK Rowling et coll.

Bah finalement j'ai trouvé ça très très bien.
Très adroitement écrit, on y retrouve tous les personnages que nous avions eu du mal à quitter à l'issue du tome 7, et des nouveaux.

Je ne veux pas spoiler donc je ne vais pas révéler l'intrigue. Mais nous qui avions traversé les affres de l'adolescence avec Harry nous le retrouvons (ce n'est pas une grosse surprise) face à un adolescent (son fils) en pleine révolte face à un papa super célèbre.

L'histoire est bien dans la veine des précédentes, avec de nombreux rebondissements.

Après avoir lu la pièce, je me demande bien comment ça peut donner sur scène, car les effets spéciaux sont assez énormes. Je n'imagine pas aller à Londres la voir (ça doit être complet) donc peut être vais je attendre que cela soit monté sur Paris.

Acheté la semaine dernière, je finis le bouquin en cours et je l'attaque. Du mal à me lancer en anglais, ça me paraissait +facile il y a 10 ans...


En ce moment, je lis "Paradis sur mesure" de Bernard Werber. Pal mal, c'est plutôt un recueil de nouvelles. Il est fatigant avec ses fourmis... M'enfin ça se lit bien.

Dernièrement j'ai lu "la vérité sur l'affaire Harry Quebert" de Joël Dickson. Vraiment pas mal.

gritou a écrit:

Dernièrement j'ai lu "la vérité sur l'affaire Harry Quebert" de Joël Dickson. Vraiment pas mal.

Je l'avais bien apprécié celui là.
Il avait été Goncourt des lycéens et c'est très rassurant de constater que la lecture n'est pas morte, pas plus que le gout pour une littérature de qualité.
Il y a des livres qui sont vraiment bons, par l'histoire, comme par le style.

Cet été j'ai beaucoup aimé celui là, dont je n'avais pas vu venir la chute (mais je ne suis pas très bon à ce jeu, car je n'avais pas plus prédit le dénouement de l'affaire Harry Quebert).

herve a écrit:

Cet été j'ai beaucoup aimé celui là, dont je n'avais pas vu venir la chute (mais je ne suis pas très bon à ce jeu, car je n'avais pas plus prédit le dénouement de l'affaire Harry Quebert).[/img]

Alors la fin d'Harry Quebert, je vais faire ma pénible, ça m'a un peu gâché la fin du livre. Il y avait un rythme tout le long, et là à la fin j'ai l'impression que c'est super brouillon, il enchaîne les effets de surprise, ça m'a saoulée. Mais bon, ça va, c'est un bon livre. Je suis très difficile en livres, ç'en devient chiant.
J'adore quand un livre m'emporte du début à la fin, que je ressens vraiment des trucs. Du genre en refermant le livre je me sens mal que ce soit fini…
Le seul livre que j'ai relu deux fois voire 3, de suite, c'est "Autant en emporte le vent". Un truc de dingue l'effet que m'a fait ce bouquin.

Je te conseille du coup un polar un peu noir "Juste une ombre" de Karine Giebel.
Elle a remporté de nombreux prix de polars francophones, dont Cognac.
Je trouve que le style emporte vraiment bien (en tous cas moi j'ai été captivé par l'écriture nerveuse) et le suspens est soutenu jusqu'à la fin.
Le personnage principal est à baffer, hautaine, ambitieuse, des dents qui raient le plancher. Et pourtant...

Et quand je dis "un peu" noir, c'est une litote.

Fanny66 a écrit:

herve a écrit:

Je viens de finir la pièce de JK Rowling et coll.

Bah finalement j'ai trouvé ça très très bien.
Très adroitement écrit, on y retrouve tous les personnages que nous avions eu du mal à quitter à l'issue du tome 7, et des nouveaux.

Je ne veux pas spoiler donc je ne vais pas révéler l'intrigue. Mais nous qui avions traversé les affres de l'adolescence avec Harry nous le retrouvons (ce n'est pas une grosse surprise) face à un adolescent (son fils) en pleine révolte face à un papa super célèbre.

L'histoire est bien dans la veine des précédentes, avec de nombreux rebondissements.

Après avoir lu la pièce, je me demande bien comment ça peut donner sur scène, car les effets spéciaux sont assez énormes. Je n'imagine pas aller à Londres la voir (ça doit être complet) donc peut être vais je attendre que cela soit monté sur Paris.

Acheté la semaine dernière, je finis le bouquin en cours et je l'attaque. Du mal à me lancer en anglais, ça me paraissait +facile il y a 10 ans...

Ayé, finit. D'accord avec ton analyse. Et j'ai hâte de le lire en français!

Les rebondissements, je pense que c'est surtout pensé pour le théâtre, sinon, on s’ennuie.

Je reste un peu sur ma faim quand-même. D'une part parce que c'est court, et d'autre part parce que la narration m'a quand-même manqué. On est dans l'action en permanence, c'est prenant, mais ça manque un peu de profondeur pour moi.

Je suis allée voir par curiosité les ventes de billets : aucune place dispo, plein jusqu'en décembre 2017. On peut en avoir si on est assez rapide : 40 places mises en vente tous les vendredi. Par contre, il jouent la première partie en début d'aprem et la seconde en soirée (Il doit y avoir quantité de décors à bouger).

herve a écrit:

Je te conseille du coup un polar un peu noir "Juste une ombre" de Karine Giebel.
Elle a remporté de nombreux prix de polars francophones, dont Cognac.
Je trouve que le style emporte vraiment bien (en tous cas moi j'ai été captivé par l'écriture nerveuse) et le suspens est soutenu jusqu'à la fin.
Le personnage principal est à baffer, hautaine, ambitieuse, des dents qui raient le plancher. Et pourtant...

Et quand je dis "un peu" noir, c'est une litote.

Et encore plus noir de cette même auteure : Meurtres pour rédemption. Très oppressant, gênant, dur...Et pourtant...

Je viens de finir "Une terre d'ombre", de Ron Rash, j'ai beaucoup aimé. Classé littérature policière, mais pour moi ça n'en est pas vraiment.