début du bac demain!!!!

Et ?????????????????????????????????

Alors ??????????????????????

Et ................. Je l'ai

avec une moyenne de 11.95, donc je passe a 0.05 point de la mention, et surtout un 17
en francais !!!!!

BRAVO !!!!

D'autant plus quand on connait ton histoire ....

(et j'ai fait le coup du 11.97 de moyenne, je suis donc la mieux placée pour te féliciter la première)...

La suite des aventures ???? Tu te diriges vers quelle branche ???
Après les vacances méritées, bien sur !

Merci

Je pense faire un CS jeune chevaux, mais rien n'est sur !!

herve a écrit:

Cela dit je pense que pour REUSSIR à la fac, il faut beaucoup plus de maturité qu'en prépa. Clairement je ne me serais pas vu en Fac pour deux sous et le système prépa où on te prend en charge du matin au soir et du soir au matin en te faisant ingurgiter des tonnes et des tonnes de connaissances (pas toutes utiles j'en conviens) m'allait très bien. J'étais préformaté, bon candidat à ce lavage de cerveau.

Maintenant si on peut REUSSIR (et une fois de plus, je dis RESPECT !) en fac, que se passe t il pour tous ceux qui s'y plantent ? En tentant la prépa, et si on se plante on en sort en général tout à fait armé pour affronter les amphis de la fac.
Sans même évoquer les voies d'admission parallèles dans les Grandes Ecoles (concours B et C).

Après on peut aussi s'interroger sur la réussite sociale, est-ce synonyme de réussir sa vie ? Toujours est-il qu'il vaut mieux avoir le diplôme kivabien à 23 ans que pas de diplôme du tout.
Même si des cons dépourvus de "sens de la vie" sont tout à fait aptes à réussir des concours et décrocher des diplômes...

Pour avoir fait les 2 (un an de prépa, puis choisi volontairement de ne pas faire la 2nde année pour aller à la fac), ce que j'en pense : pour, disons, une très très grosse majorité des gens, réussir à la fac dépend de facteurs qui dépendent de nous (en gros, se tenir au travail sans qu'absolument rien n'y oblige), tandis que réussir en prépa dépend en majorité de facteurs intrinsèques (capacités intellectuelles et d'apprentissage, auxquelles s'ajoutent quand même la volonté de travailler beaucoup, et la résistance au "stress" ). Je schématise un peu, mais l'idée est là.

Pour ta 2ème phrase, je suis tout à fait OK avec toi, dans la majorité des cas faire une prépa est une sérieuse aide pour la suite.

Par contre j'ai du mal sur l'idée que réussir à la fac mérite plus de respect qu'en prépa. Certes ça demande une grande autonomie (ce qui est d'ailleurs un bon critère je pense -et le seul qu'apporte réellement la fac classique d'ailleurs, le contenu étant à mon sens infiniment trop théorique- dans une future optique "professionnelle"), mais la quantité de travail est sans comparaison. Pour donner une idée, en prépa, c'étaitdes heures de boulot chaque jour en dehors des cours, souvent le repas du midi qui saute, couchée tard, levée tôt..... A la fac, ben, disons et en étant gentille, que c'était une grosse semaine de révisions intensives en tout et pour tout avant les exams. Le reste du temps, zéro boulot. Donc dire qu'il y a beaucoup de mérite à réussir à la fac, euh, bof (j'exclue médecine, droit....). LE gros problème de la fac, c'est dé réussir EN SORTANT(cad trouver un boulot) , non ??

cath. a écrit:

Il me parait important d'avoir un diplôme pour réussir sa vie. Sans diplôme, les voies sont très très étroites.
Mais autour de moi, je vois des artisans et des professionnels de la santé (non médecins) qui réussissent très très bien dans la vie.
Certes, ils ont moins de connaissances élitistes (mais qui intéressent combien de personnes en France ?), pour autant ils me semblent épanouïs, gagnent bien leur vie, ont du travail et avec du sens, sont pas cassés dans leur tête, ...

C'est complètement vrai, et tellement que j'ai beaucoup de mal à comprendre "l'élitisme généralisé" qui pousse l'état à envoyer un maximum de gens à la fac plutôt que de privilégier les orientations professionnelles, et les gens qui veulent absolument que leur marmots fassent de grandes études alors même qu'il est évident qu'un bon nombre des marmots en question en réussiront jamais à la fac. Je vois autour de moi pas mal d'artisans, et bien je suis de plus en plus convaincue que c'est loin d'être un mauvais plan : ils deviennent souvent leur propre patron, puis embauchent, ils ont la liberté et donc à mon sens un boulot intéressant (gérer), gagnent en général bien voir très bien leur vie, et avec du boulot "à gavé" .
Alors pourquoi faire croire aux gens que tout el monde trouvera sa place à la fac (enfin, beaucoup peuvent réussir à la fac, mais avoir un boulot à la sortie c'est une autre paire de manches !)

cath. a écrit:

Pour la capacité de travail je veux bien mais pas pour la méthodologie. On l'acquière aussi à l'université (et par soi-même si on veut bien). Encore une fois, quand on veut bosser à la fac, on peut. Si on a ses diplômes avec toujours 10 de moyenne, c'est sûr qu'on ne peut pas comparer. Mais si on est bon élève à la fac, on est un bon élément professionnel.

Ca j'en suis absolument convaincue !

herve a écrit:

En série S, tu as déjà corrigé des copies plaisantes et bien écrites ??

Je rigole à peine. En fait la question induite est "depuis quand y a t il des LV à l'écrit au BAC scientifique ?".

J'ai connu l'oral.
Mais j'suis (définitivement) un vieux con

Cela étant je suis surpris que le niveau soit si mauvais en anglais. Je sais bien que l'enseignement des langues a longtemps été catastrophique en France mais je croyais (naïvement ?) que des réformes successives avaient visé à changer la donne.

En même temps, comment espérer des élèves qu'ils puissent s'exprimer en anglais ou en allemand s'ils ne maitrisent pas leur langue maternelle (et vu le nombres d'heures de français en moins...) ?

Je crois qu'il y a un sérieux problème dans l'enseignement des langues en France. J'ai eu (en S ) 18 au bac d'anglais, donc je pense un niveau tout à fait correct. Je suis maintenant amenée fréquemment pour le boulot à converser en anglais, c'est pas mirobolant, mais je me débrouille, je suis comprise et comprends dans toute situation.

Ce niveau, je le dois uniquement à mes 2 profs de lycée, où j'ai fais classe européenne. Je suis arrivée en 2nde avec un niveau très mauvais, j'en ai ch*** grave pendant un an, mais j'ai acquis un bon niveau. En prépa, en fac, je n'ai fais que régresser, rien n'est fait pour pousser l'étudiant vers l'avant (on m'a carrément interdit de m'inscrire en anglais une année, ayant eu une note "trop bonne"-note pourtant loin du 20 !- l'année d'avant. C'est quand même dingue, non, je trouve l'anglais primordial dans la vie actuelle).
Ma soeur, pareil, elle avait un niveau d'anglais en sortie de collège catastrophique (exemple : maman, ça veut dire quoi "he is" ??? ), mais, à mes parents qui en ont parlé au prof, on a dit de ne pas s'inquiéter, elle était dans les tous meilleurs de la classe !!

Félicitations Havane !!!

Pour ce qui concerne les langues, d'une part, pour moi, ça s'apprend dans le pays en parlant avec des gens dont c'est langue maternelle, pas à l'école.
J'ai fait une fac d'anglais, mais ce n'est ni au lycée ni à la fac que j'ai appris cette langue : c'est en passant toutes mes vacances en Angleterre, en trainant avec tous les jeunes anglais de mon âge que j'ai vraiment appris la langue (au bout d'1 mois, mes rêves étaient en anglais) !
D'ailleurs, au retour, je me prenais parfois des soufflantes parce que j'avais attrapé un accent plus faubourg (voire limite cockney) que Oxbridge (je n'avais pas que de bonnes fréquentations entre les punks, les skins de l'époque ) .
Et c'est bien grâce à ces séjours et non en décortiquant une nième pièce de Shakespeare que j'ai pu être directement opérationnelle professionnellement en anglais.
Mon premier emploi en CDI mon patron était américain, on parlait 2 phrases sur 4 en anglais. Mon premier déplacement pro fut d'aller négocier des contrats avec des avocats anglais.
Je n'aurais jamais tenu le cap avec l'enseignement que j'avais reçu en fac !!!
Le programme hebdo en fac d'anglais : 8 h de littérature (anglaise/américaine) - 4 h d'histoire britannique ou américaine versus 1 heure d'anglais éco & commercial ! Cherchez l'erreur !!!

Par ailleurs, je trouve que la période méthodes audiovisuelles avait eu du bon : au moins le mérite de permettre à ceux qui ont une bonne oreille de "choper" sonorités, accent et intonations propres à une langue. Mais manifestement, ce n'est plus du tout en vogue
Le peu de russe et d'allemand que j'avais appris avec ces méthodes, et bien au moins, quand j'alignais une phrase dans la langue, elle sonnait "local", pas vache espagnole qui aligne 3 mots de russe ou d'allemand avec un accent à couper au couteau !

Lily pourra peut-être m'expliquer pourquoi l'audiovisuel est complètement tombé en désuétude.
En tous cas, je trouve que ma fille (qui donc n'a jamais eu d'enseignement linguistique par méthode audiovisuelle), en anglais, c'est l'horreur !
Elle a la syntaxe, le vocabulaire, la grammaire, mais ... c'est tout juste si je la comprends pas quand elle me parle en anglais
Il faut absolument que je lui fasse faire le même type de périple que ce que j'ai fait dans ma jeunesse ...

Bravo Havane!
Ici, on attend les résultats de Gaëtan qui vient de passer son BEPA AAH et qui se dirige vers le bac pro.
La formation CS jeunes chevaux semble très intéressante!

Pour Alix, la mention TB n'est qu'une satisfaction personnelle et il pense que ça peut être un plus sur un CV. Il ne se dirige nullement vers une prépa mais rentre à l'IUT services et réseaux de communication (DUT SRC) de Bordeaux. Il compte ensuite poursuivre dans une école d'ingénieur mais ne sait pas encore laquelle. "Chaque chose en son temps"!

tt d'abord bravo à Havane!

ensuite, comme Hervé, pour être passée par la prépa, je trouve aussi que ce système est bien adapté à un certain type de personne, dont je faisais partie, qui a besoin d'être encadré, guidé, bon petit soldat qui ne se pose pas trop de questions. J'aurais été bien perdue en fac, et pas assez mature pour y faire qqch de bien, et j'admire également les personnes qui ont fait des études universitaires brillantes, car pour moi elles nécéssitent une grande autonomie et une maturité que la plupart des bacheliers n'ont malheureusement pas à cet âge-là. je ne dirais pas que la prépa était facile, mais ça m'allait bien.
Je comprends aussi que pour des jeunes un peu plus dégourdis et qui ont un peu plus l'esprit critique et se posent plus de question sur le pourquoi du comment (qd j'y repense, je n'avais aucun recul sur rien à cet âge -là, pas d'avis, pas de revendications.. ), ça ne soit pas adapté.
Cela dit, ça va faire 15 ans que je suis sortie d'école d'agro, et je pense vraiment que les deux années de prépa m'ont été bénéfiques et qu'elles m'ont sans doute plus apporté que les 3 ans d'école qui ont suivi, en terme de rigueur, méthode de travail, esprit de synthèse, capacité à absorber de grosses quantité de travail.

Comme Hervé aussi, je reste persuadée que le relations pour trouver un travail, ça a ses limites, qui sont les compétences de la personne, et pas seulement dans les secteurs concurrentiels. Bien sûr qu'il est utile d'avoir un réseau etc.. Mais même dans la fonction publique, et même pour un stagiaire, personne n'aime se faire imposer un boulet dans l'équipe, qui handicape et retarde tout le monde, et si ça arrive, ça n'a qu'un temps. Donc oui, ça arrive, mais de là à dire que c'est comme ça que cela fonctionne non, c'est tout de même loin d'être une généralité, ce n'est dans l'intérêt de personne.
C'est plus dans les décisions politiques (qui sont rarement des décisions pour l'intérêt général..) que ce genre de chose m'irrite..

Allez je croise les doigts pour que ceux qui ont encore des épreuves s'en sortent brillamment, et surtout qu'ils trouvent leur voie après ça!

Que Maxou ne se chagrine pas plus que ça, l'année prochaine tout le monde aura oublié le bas 2011, de la même façon que personne ne pensera qu'il a eu une mention au rabais ( et comme les autres, la mention ben...on s'en fout un peu).

Courage, et on croise les doigts pour les résultats!

Citation :

Le programme hebdo en fac d'anglais : 8 h de littérature (anglaise/américaine) - 4 h d'histoire britannique ou américaine versus 1 heure d'anglais éco & commercial ! Cherchez l'erreur !!!

Ah lala.... ou comment vivre de "culture et d'eau fraîche", grande ambition intellectuelle !

mazel a écrit:

Citation :

Le programme hebdo en fac d'anglais : 8 h de littérature (anglaise/américaine) - 4 h d'histoire britannique ou américaine versus 1 heure d'anglais éco & commercial ! Cherchez l'erreur !!!

Ah lala.... ou comment vivre de "culture et d'eau fraîche", grande ambition intellectuelle !

Tu parles ! J'étais vraiment dépitée de la teneur du programme, à l'époque ... comme si être capable de faire une analyse stylistique d'une pièce de Shakespeare allait me servir à quelque chose dans la vie (du coup, il me manque 2 UV de licence : celles de littérature américaine et de littérature anglaise. Jamais eu l'envie de les repasser).

Havane a écrit:

Et ................. Je l'ai

avec une moyenne de 11.95, donc je passe a 0.05 point de la mention, et surtout un 17
en francais !!!!!

félicitation !

marielaure95 a écrit:

Félicitations Havane !!!

Pour ce qui concerne les langues, d'une part, pour moi, ça s'apprend dans le pays en parlant avec des gens dont c'est langue maternelle, pas à l'école.
J'ai fait une fac d'anglais, mais ce n'est ni au lycée ni à la fac que j'ai appris cette langue : c'est en passant toutes mes vacances en Angleterre, en trainant avec tous les jeunes anglais de mon âge que j'ai vraiment appris la langue (au bout d'1 mois, mes rêves étaient en anglais) !
D'ailleurs, au retour, je me prenais parfois des soufflantes parce que j'avais attrapé un accent plus faubourg (voire limite cockney) que Oxbridge (je n'avais pas que de bonnes fréquentations entre les punks, les skins de l'époque ) .
Et c'est bien grâce à ces séjours et non en décortiquant une nième pièce de Shakespeare que j'ai pu être directement opérationnelle professionnellement en anglais.
Mon premier emploi en CDI mon patron était américain, on parlait 2 phrases sur 4 en anglais. Mon premier déplacement pro fut d'aller négocier des contrats avec des avocats anglais.
Je n'aurais jamais tenu le cap avec l'enseignement que j'avais reçu en fac !!!
Le programme hebdo en fac d'anglais : 8 h de littérature (anglaise/américaine) - 4 h d'histoire britannique ou américaine versus 1 heure d'anglais éco & commercial ! Cherchez l'erreur !!!

Par ailleurs, je trouve que la période méthodes audiovisuelles avait eu du bon : au moins le mérite de permettre à ceux qui ont une bonne oreille de "choper" sonorités, accent et intonations propres à une langue. Mais manifestement, ce n'est plus du tout en vogue
Le peu de russe et d'allemand que j'avais appris avec ces méthodes, et bien au moins, quand j'alignais une phrase dans la langue, elle sonnait "local", pas vache espagnole qui aligne 3 mots de russe ou d'allemand avec un accent à couper au couteau !

Lily pourra peut-être m'expliquer pourquoi l'audiovisuel est complètement tombé en désuétude.
En tous cas, je trouve que ma fille (qui donc n'a jamais eu d'enseignement linguistique par méthode audiovisuelle), en anglais, c'est l'horreur !
Elle a la syntaxe, le vocabulaire, la grammaire, mais ... c'est tout juste si je la comprends pas quand elle me parle en anglais
Il faut absolument que je lui fasse faire le même type de périple que ce que j'ai fait dans ma jeunesse ...

Aujourd'hui avec les boxes et la TV par adsl il est super facile de visionner les programmes en VO (avec ou sans sous titre).
Et ça je pense vraiment que c'est un moyen simple de former l'oreille des jeunes têtes blondes. Ils sont tellement devant la TV que ça sera indolore. Ca couine un peu au début puis on s'y fait très bien, assez vite.

Tiens par exemple Rome (ma fixette du moment je finis la saison 2, si... délicieusement décadente et orgiaque avec Antoine et Cléopâtre). Le Oxbridge english des Patriciens est un régal. Le cockney de certains plèbiens aussi.

Le mieux c'est anglais sous titré en anglais (mais est-ce répandu je ne sais pas) car ça permet de visualiser des phrases et donc pour ceux qui ont une mémoire visuelle je suis sûr que ça améliore l'expression écrite usuelle.

marielaure95 a écrit:

D'ailleurs, au retour, je me prenais parfois des soufflantes parce que j'avais attrapé un accent plus faubourg (voire limite cockney) que Oxbridge (je n'avais pas que de bonnes fréquentations entre les punks, les skins de l'époque ) .

marielaure95 a écrit:

Il faut absolument que je lui fasse faire le même type de périple que ce que j'ai fait dans ma jeunesse ...

Ah oui ?

herve a écrit:

Ils sont tellement devant la TV que ça sera indolore.

Tes enfants passent-ils beaucoup de temps devant la TV ?
La nôtre, pas du tout ! Par contre, Internet ...
Cela dit, je parlais de la teneur de l'enseignement des langues, pas d'une démarche spontanée et personnelle qui est effectivement tout à fait possible, mais ne règle pas le pb. Les français ont toujours été très mauvais en langues étrangères et je trouve que ça ne s'arrange pas vraiment.

Lambada : OK, j'avoue, j'ai fait les 400 coups en Angleterre.
Mais j'ai des souvenirs fabuleux de cette période et encore qq nouvelles de mes potes anglais ... 30 ans plus tard.

Bah... je dois rendre hommage à mes profs d'anglais du collège grâce à qui j'ai pu me débrouiller plus qu'honnêtement
En même temps, j'aimais beaucoup l'anglais.

marielaure95 a écrit:

herve a écrit:

Ils sont tellement devant la TV que ça sera indolore.

Tes enfants passent-ils beaucoup de temps devant la TV ?
La nôtre, pas du tout ! Par contre, Internet ...
Cela dit, je parlais de la teneur de l'enseignement des langues, pas d'une démarche spontanée et personnelle qui est effectivement tout à fait possible, mais ne règle pas le pb. Les français ont toujours été très mauvais en langues étrangères et je trouve que ça ne s'arrange pas vraiment.

je causais box et écran qui va avec.
Si la série ne passe pas à la TV, internet permet de la trouver.

Résultat tant attendu : Bac ES avec mention Bien!!!!!

Champagne! bravo!

Félicitations!

Pour les langues, c'est pareil en Belgique francophone!
J'ai fait mes primaires en néérlandais, puis je suis repassée en secondaires en français.

Entre temps j'ai fais plusieurs stages d'équitation en Irlande dans des familles d'acceuil.
A la maison, je regardais les films à la tv flamande, en VO sous titrée flamande.

Donc là aussi j'ai eu l'oreille por l'anglais.
Résultat des courses, je suis parfaite trilingue sans aucun effort particulier, sans avoir dû apprendre une langue.
Du coup pour l'allemand, ce n'est pas passé car là fallait vraiment apprendre!

mais je suis vraiment très contente, car tous les jobs que j'ai pu décrocher en étant étudiante, c'est grace à ça!
hôtesse dans l'eurostar, hotesse dans les trains de nuits etc, ainsi que mes emplois actuels qui se doivent d'être billingue fr/nl.

mes enfants iront aussi à l'école en néermandais, certainement jusqu'à 12 ans, et ensuite on verra bien si ils sont capables de passer en français ou pas.

C'est top d'avoir l'opportunité d'apprendre plusieurs langues à la fois et sans effort...

Une de mes collègues est irlandaise, son mec arabe, du coup leur petite fille qui a un an entend sa mère lui parler anglais, son père en arabe ou en français, et ses demi-frère et soeur en français aussi. La môme va être quasiment trilingue, je trouve ça super.

Moi j'ai eu un peu d'aide avec maman prof d'anglais, donc une facilité naturelle dans cette langue puisque depuis tous petits on avait droit aux VOST, à la BBC tous les matins au petit dej, et à des conversations en anglais quand on voulait pas que mon père comprenne enfin du coup il s'y est mis aussi, et maintenant ça marche plus!

Félicitations à Max !

Mallau a été reçue avec mention Très Bien avec 16,43 de moyenne ! On aurait déjà été très heureux pour elle avec une mention Bien.
Alors ça fait vraiment très très plaisir de voir qu'elle a réussi au delà de ses espérances ...
Du coup, ses profs la poussent à tenter la procédure d'admission à Sciences Po sur mention TB.
Et comme d'hab., elle est persuadée que son dossier n'est pas assez fort (qu'il aurait fallu qu'elle aie en plus une mention "félicitations du jury"), qu'elle n'aura pas la capacité de se préparer à l'oral ... qu'ellle ne sera pas prise puisqu'elle a été refusée au double cursus Philo/Sciences Po

Je ne sais pas ce qu'il lui faut pour enfin prendre confiance en ses capacités !!!

Bravo Maxou !! (grosse caisse ce soir . (Md : ne lis pas ca ) ).
Bravo egalement aux autres.

thb a écrit:

Bravo Maxou !! (grosse caisse ce soir . (Md : ne lis pas ca ) ).
Bravo egalement aux autres.

trop tard, j'ai lu!

Je viens d'avoir ses notes... 14,75 de moyenne.. plus mauvaise note 08 en histoire géo...meilleure note : 20 en section européenne..

Bravo à ta fille Marie Laure! j'espère qu'elle va prendre confiance en elle!

Bravos à tout les 2

et à la fille de ML un coup de pied au fesses si elle ne tente pas

PS : j'ai le frère d'une amie sur Paris, qui bosse à l'assemblé et a fait Sciences Po si elle veut des tuyaux